La tranchée

La petite maison doit être reliée à une électricité bien câblée. Une tranchée est donc nécessaire.

Les engins sont de la partie et Juliette et Agathe profitent de ces moments pour observer.

Évidemment il faut piétiner la tranchée. Les bottes en caoutchouc sont les bienvenues. 

Le parapente

Le Puy de dôme

Bien cachés du vent, nous avons choisi de descendre le pré pour s'abriter.

Le silence s'invitait au déjeuner. Bouche bée par le paysage des forêts.

Première photo de saut.

Et puis nous avions envie de monter plus près des parapentes et regarder un autre point de vue.

Le Mont Blanc est distingué avec les jumelles. Tout droit juste au dessus de l'horizon.

Grand espace

Synonyme de grands espaces, évocateur d'horizon insolite, la chaîne des puys est la figure de proue du puy de dôme. C'est donc vers cet endroit que nous nous rendons.

La montagne et sa flèche se rapprochent de plus en plus.

C'est dans la maison de site que nous avons acheté nos billets ainsi que le pique nique de midi.

Un joli sac vert anis était rempli de victuailles pour notre déjeuner.

Le train à crémaillère s'approche de la gare. Nous allons pouvoir l'emprunter.

Les filles se sont familiarisées avec le roulis du wagon et deviennent à l'aise pour oser se lever.

Seb indique aux enfants des lieux familiers qu'on a déjà visité, la cathédrale de Clermont et ses flèches noires, ...

Ça y est 20 minutes après nous arrivons au sommet. Le voyage aller est terminé.

Réveil le dimanche matin

Nous avions prévenu les filles qu'il était important de faire la grasse matinée un dimanche matin. Interdit de se lever avant 8h. Et interdit de crier "Papa Maman" au moment de se lever. Des qu'elles se levaient, les filles se faisaient un petit lit sur le seuil de notre porte, en attendant qu'on veille bien se lever. Consigne respectée.

La ligne de chemin de fer

La ligne de chemin de fer entre Billom et Vertaizon est fermée depuis de nombreuses années.

Une marche était organisée pour demander sa réhabilitation. 

Les hommes et les femmes en écharpe s'étaient déplacées pour cette idée.

Durant 2,5 kilomètres aller nous avons arpenté les rails et les traverses. Cette ligne mériterait d'être en fonction pour permettre de rejoindre Clermont par la voie ferrée plutôt que par la route encombrée.

Les enfants marchaient pour leur avenir et pour rejoindre peut être un jour leur université.

Un billet était à composter avant le départ sifflé. Nous suivions un ancien cheminot passionné et engagé pour une ligne de liberté.