Après le plateau de Coscione nous redescendons en direction de Quenza. D'après le guide, un apiculteur vend son miel de printemps et du maquis.
Nous avons trouvé le royaume des abeilles, Maxime nous a raconté sa passion et son travail. Nous avons dégusté sur des petites cuillères le mélange tout juste recueilli dans les ruches la veille.
Sur le dessus, alors que le miel a été filtré deux fois, à la surface de la cire, de la propolis stagnent. C'est dans cette mousse blanchâtre que nous avons goûté aussi le nectar. Maxime se rappelle que dans son enfance c'était ce qu'il préférait. De la cire restait collée sur ces dents...
Le nectar plus ou moins foncé coule des cuves pleines à ras bord. Et voilà quels pots ramenés pour les hivers nous rappèleront nos vacances d'été.
